vendredi 8 août 2008

New York, suite et fin

Ceux qui suivent régulièrement mes histoires auront peut-être remarqué que le message que j'avais posté il y a quelques jours a disparu... J'aimerais pouvoir pester contre Blogger, mais je dois admettre que c'est moi qui l'ai supprimé par erreur (et j'en connais que ça ne surprendra pas outre mesure...).
AAAAAAAARRRRRGH!!!! MAIS QUELLE COOOOOONNE!! ESPECE DE DEBIIIIIIILE! MEEEERDE, JE M'ETAIS VRAIMENT FAIT CHIER A L'ECRIRE, CE MESSAGE!!!
Hum voilà, il fallait que ça sorte. En fait, c'est quand même un peu de la faute de l'hébergeur, parce que quand j'ai voulu regarder où j'en étais de mes posts, il y avait indiqué "brouillon", et "message posté" pour deux messages intitulés "first steps"; je me suis donc dit que je pouvais supprimer celui appelé "brouillon", que ce devait être une version de ce que j'avais sauvegardé avant de poster. Apparemment ça n'était pas ça. Fuck, vraiment. Bon, je dois apprendre à lâcher prise, ça ira mieux dans 5 minutes...
Je ne vais pas refaire tout le machin, je remets juste quelques photos des premiers jours, en espérant que mes fidèles et assidus lecteurs auront eu le temps de prendre connaissances de mes trépidantes aventures...
N'oublez pas que vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir.







Bon, et voilà, en gros, la suite de mon séjour:
Je suis allée refaire un tour à Times Square, de nuit, je ne sais plus quand, et suis tombée, à la sortie du métro, sur un groupe de cuivres jouant dans la rue. Fantastique! Je me suis arrêtée pour écouter, et ai finalement acheté un de leurs CDs. Ils se nomment Hypnotic Brass Ensemble et viennent de Chicago; voici une petite vidéo si d'aventure votre curiosité se révélait plus puissante que votre flemme:
http://www.youtube.com/watch?v=VUl-aBv889M


Le mec à qui j'ai acheté le CD m'a proposé d'aller boire un verre, et j'aurais été assez tentée par une vraie immersion new yorkaise, avec un vrai euh...pas new yorkais, puisqu'il est de Chicago, mais bref, vous saisissez l'idée; mais il n'était hélas pas assez mignon, et je n'étais pas d'humeur à me faire draguer. Voici une photo d'un des membres du groupe, qui n'est pas celui à qui j'ai eu affaire:


Times Squares:


Le lendemain, j'ai pris mon courage à deux mains et suis partie explorer le Metropolitan Museum of Arts, MET pour les intimes, qui n'a d'équivalent dans le monde que le Louvre et le British en terme de richesse des collections. Bon. Je n'ai pas pris mon pied. Déjà, je suis arrivée passablement crevée d'avoir dû traverser Central Park à pied et en tongs, et de m'y être un peu perdu, et morte de chaleur. Ensuite, quand on m'eut délestée de la somme prohibitive de 20 dollars (ben non, je n'ai plus le tarif étudiant), je me suis à nouveau perdue, cette fois-ci dans le labyrinthe du musée. Le plan qu'ils distribuent n'est pas très détaillé, j'y suis donc allée au petit bonheur. Egypte ancienne, instruments de musique biscornus, une super expo temporaire sur les superhéros et la mode, sculpture grecque antique, armurerie médiévale, peintres américains du 19ème, salle Rembrant (ah! enfin un truc un peu intéressant), puis Picasso, les impressionnistes, Van Gogh, les pointillistes, Matisse (eeerk), Gaughin et ses Tahitiennes...tout ça dans le désordre vu qu'à ce stade j'en étais à déambuler comme une somnambule d'une salle à l'autre en cherchant les toilettes et/ou un endroit où me vautrer. Je suis passés trois fois par la salle Van Gogh, reconnaissant au passage quelques tableaux connus, et cherchant desespérément la "Nuit étoilée", histoire de pouvoir foutre le camp. En désespoir de cause, j'ai demandé le renseignement à une surveillante, qui m'a gentiment répondu qu'il se trouvait au MoMA. Où j'étais allée deux jours avant. Et où je n'avais pas vu ce tableau, le seul que j'aurais vraiment aimé voir. Je me suis donc frayé un chemin vers la sortie à coups de coude, me reperdant trois fois dans le département des vieilleries égyptiennes pour trouver une dernière fois les toilettes avant de me perdre à nouveau dans central Park pour rentrer à l'auberge. Ci-dessous, une photo d'une partie d'un tableau de Bastien-Lepage qui m'a frappée.



Et une jolie fontaine de Central Park au retour:

En tout cas, j'aurais mieux fait d'aller visiter le musée de l'Holocauste et Ellis Island, où arrivaient les immigrés...

Le soir, je suis allée me promener du côté de Greenwich village. C'est un quartier qui m'a beaucoup plu, je pourrais y vivre sans problème. Agréables zones résidentielles de bas immeubles en brique, dans lesquels il fait bon flâner. C'est d'ailleurs dans le coin qu'est censée vivre Carrie Bradshaw (Maman: héroïne de la cultissime série télé « Sex and the city »), et je suis allée voir l'entrée de son immeuble. Je ne pouvais pas non plus passer à côté de la Magnolia Bakery, juste à côté, qui a également été popularisée par la série (c'est le Routard qui le dit, moi je connais mal). Ils sont spécialisés dans les cupcakes, petits gâteaux genre cake, ronds, et recouverts d'une énorme couche de topping crémeux. Comme je ne savais aps quoi choisir, je me suis fait conseiller par le type qui régulait la file d'attente sur le troittoir, et suis finalement repartie avec deux cupcakes (chocolat et vanille) et un magic cookie, que je suis allée manger dans un parc. Ben ma foi c'est pas mal...mais sans plus. Au moment où j'allais partir, un type est arrivé en me demandant si j'étais allemande ou française. Presque! Il a semblé impressionné quand je lui ai révélé ma nationalité, et a déclaré qu'il voulait aller vivre en Suisse, et que pour cela ce serait bien que je l'épouse. J'ai répondu que ça n'était pas vraiment envisageable, mais il a quand même interpellé un de ses potes et lui a fait: « Hey, man, come here, we need a witness, we're gonna get married! ». Bon, il m'a ensuite plus sérieusement proposé de l'accompagner à une soirée reggae, trois heures plus tard. Il était vraiment beau et j'étais surtout curieuse de plonger dans une des nombreuses ambiances que propose NY, en l'occurence reggae-black-Greenwitch-jeune, et avec des gens du cru, je lui ai donc dit que je viendrais peut-être au rendez-vous à 23h. Entre temps, je suis retournée sur le pont de Brooklyn, histoire de prendre mon temps pour entrer en communion avec la ville et mon appareil photo. J'ai pris un énorme pied à prendre ces photos et à jouer avec les réglages, tout en suant dans la chaleur nocturne. Malheureusement, le pont vibrait sans cesse au passage des voitures, les photos sont donc un peu floues étant donné que j'ai la plupart du temps laissé l'obturateur ouvert entre 0'6 et 1s.






Et le même genre, version N/B, spécialement pour Marion qui adore à la fois NY et la photo N/B:Laquelle préférez-vous entre celle du haut et celle du bas?





Alors que l'heure de mon rendez-vous approchait, je ne savais toujours pas si je voulais y aller ou pas. J'avais envie de rentrer, mais j'étais curieuse, je me suis donc forcée. Sur le chemin, conversation sympa avec un employé du métro qui m'a indiqué ou descendre et s'est montré très impressionné par mon projet de voyage. Arrivée devant le parc, j'avais 10 minutes de retard et le mec mignon n'était pas en vue. Tant pis, je suis rentrée dormir. C'aurait pu être une expérience sympa.

Le lendemain, donc hier, j'ai décidé que je ne pouvais pas quitter NY sans avoir mis au moins une fois les pieds dans le Bronx. Ce quartier est tout de même une légende, symbole de pauvreté extrême et de violence, et je voulais voir de quoi il avait l'air. Le Routard précise que le Bronx essaie de sortir de son marasme depuis quelques année, et que l'on peut tout à fait aller y faire un tour de jour si l'on reste hors de ce qui ressemble à des cités. J'ai donc pris le métro direction le nord, et ai débarqué là-bas. Malheureusement, la ligne de métro que j'ai empruntée ne me permettait pas de descendre là où le guide me conseillait d'aller, dans une rue colorée et braillarde; j'ai donc décidé de marcher. Problème: j'avais perdu mon plan de la ville, j'y allais donc un peu au pif d'après une vague carte du métro sur laquelle les noms de rue n'étaient pas indiqués. J'ai tenté de trouver le sud d'après la position du soleil, et me suis retrouvée au nord de la ville. Raté. J'ai avisé une femme qui avait l'air sympa ( je n'osais bizarrement pas trop demander mon chemin aux grands blacks qui écoutaient du hip hop...) et lui ai demandé dans quelle direction était la rue que je cherchais. Vu l'épaisseur de son accent quand elle m'a répondu, j'ai rapidement switché sur l'espagnol. On a fait un bout de chemin ensemble, elle m'a dit qu'elle était Dominicaine et que j'étais courageuse de vouloir marcher au lieu de prendre le bus. Ah? Elle a continué tout du long à mélanger des mots d'anglais dans son espagnol, à passer d'une langue à l'autre. Peut-être est-ce une habitude dans le Bronx, mais je la soupçonne plutôt d'avoir pensé qu'il n'était pas possible qu'une blanche aux yeux bleus comprenne sa langue aussi bien que l'anglais. J'ai continué à marcher un bout, et ce que j'ai vu ne m'a pas semblé autrement effrayant; mais bon, je n'ai parcouru qu'un petit bout de ce qui est en fait un immense « borough ». Je n'ai jamasi trouvé la rue que je cherchais, en ai eu marre et ai fait demi-tour avant de me perdre complètement, non sans avoir eu le temps de noter qu'ici tout était affiché en espagnol en plus de l'anglais, et que les blacks et hispanos étaient plus nombreux qu'ailleurs. Ils semblent aussi être un peu plus mélangés que dans les autres boroughs, mais c'est difficile à dire en si peu de temps.

Au retour, je me suis arrêtée dans Midtown, quartier situé au milieu de Manhattan, comme son nom l'indique. Je cherchais l'atmosphère enfiévrée des romans de Brett Easton Ellis (American Psycho) et les cols blancs chics arpentant d'un pas pressé les longues avenues commerçantes, mais j'ai surtout vu une foule hétéroclites d'Américains, certes en costume, et de plein de touristes. Ce quartier, comme le Financial District au sud de l'île, est par contre un paradis pour photographes et amateurs d'architecture. La foule est par contre tellement dense qu'il est difficile de juste flâner le nez en l'air pour prendre des photos... En voici quand même quelques unes:














Ensuite, j'ai passé la soirée avec Rodrigo (alias Lutin Vengeur, pour ceux qui lisent les commentaires), le frère de Constansa, qui travaille actuellement à New York pour quelques mois. Il m'avait donné rendez-vous dans son quatier, Chelsea, sur un bateau amarré sur l'Hudson, et qui fait resto et bar. Un endroit très sympa, avec une très belle vue sur le New Jersey d'un côté tet NY de l'autre (enfin je crois). En fait, cet endroit m'a rappelé les bains des Pâquis by night, sur l'eau et entouré par les lumières de la ville, comme lorsque je vais au sauna l'hiver. Il ne manquait plus que la fondue au mousseux! A la place, j'ai eu droit à un burger-frites. Pas si mal, mais bon sang ce qu'il a fallu l'attendre! Cet endroit est apparemment très fréquenté certains soirs, et là c'était véritablement la cohue. D'abord, on fait la queue pour passer commande et payer, et on a intérêt à savoir rapidement ce que l'on veut, vu le rythme effréné du truc. L'employé nous remet – en tirant la gueule, évidemment – un ticket avec un numéro, et on n'a plus qu'à attendre patiemment que le préposé à la bouffe le hurle dans le micro. Rodrigo et moi avons d'abord patienté debout près du comptoir, essayant vainemtn de comprendre ce que gueulait l'employé, et lorgnant sur les plateaux. On a ensuite préféré aller s'asseoir et revenir vérifier de temps en temps, et Rodrigo a finalement trouvé sa salade niçoise (au thon cru!) parmi les frites. Ouf. Mon calvaire à moi n'était par contre pas fini. Les plats défilaient à une vitesse montre, et leurs numéros ne se suivaient pas, il fallait systématiquement vérifier le ticket sur le plateau, au milieu de la foule impatiente et affamée. Quand j'ai vu que les plats en étaient déjà à une centaine de numéros au-delà du mien, j'ai quand même commencé à m'inquiéter, et ai essayé d'interpeller un des deux préposés. Sans résultat. Le mec, une grande armoire à glace black, m'a regardée et fait comme s'il n'avait rien entendu, puis s'est retourné et a continué ce qu'il était en train de faire. Au début, je suis restée patiente, puis j'ai lancé quelques « hey! », qui n'ont pas eu grand effet. Je me suis ensuite tournée vers sa collègue, qui avait l'air légèrement plus avenante, et ai essayé de lui raconter mon histoire: « please, I think someone must have taken my meal by mistake... », mais cette p**** m'a tourné le dos avant même que j'aie pu finir ma phrase. J'ai donc fini par hausser le ton, tout en restant polie (je ne suis pas suisse pour rien): « Hey! Listen to me, please! ». Elle s'est enfin retournée, a fait « Yeah, ok! I'm listening to you! », comme si je faisais un caprice d'enfant gâtée. Je lui ai dit que je voulais juste un burger et des frites, simplement; elle a alors attrapé le premier machin qui lui tombait sous la main, l'a éclaffé sur une assiette et me l'a tendu. J'ai encore osé réclamer mes frites, et elle a chopé la première barquette qu'elle a pu trouver. C'étaient des frites au paprika, mais je n'ai quand même pas osé les lui faire changer. Ouf. La suite du repas fut nettement plus sympa, malgré la pluie torrentielle qui est survenue presque d'un coup, et le bar était plus accueillant quand les mangeurs ont eu fini leur bouffe et vidé les lieux.

Intéressante discussion avec Rodrigo, notamment sur les particularités américaines. Par exemple, j'ai été sidérée d'apprendre qu'aucune fenêtre ne peut être ouverte de plus de 10 cm dans les hauts étages des tours de NY. Lui qui vit au 31ème étage n'a donc pas le choix et doit mettre en route la clim, glaciale, s'il veut aérer. Pas terrible pour l'environnement, sans compter que personne n'éteint jamais son ordinateur le soir avant de quitter le boulot, et que toutes les lumières restent allumées la nuit. Une autre mentalité, vraiment...

Voici quelques photos que j'ai prises là-bas (sauf le portrait de moi, évidemment, qui est sous copyright Lutin Vengeur):









Ci-dessous, Rodrigo.



Ce matin, j'ai repris le car pour Montréal, et je me suis de nouveau fait emmerder - excusez le voc - à la douane. Le fort beau préposé Montréalais m'a demandé en détails ce que je comptais faire exactement comme voyage. "Mais vous alley rester combien de temps au Canada?" Euh...je ne sais pas, quelques semaines, aprés je repasse la frontière dans l'ouest. "Mais vous repartez d'où? de Buenos Aires? vous comptez y aller comment?" Ben...euh...en bus, en voiture...on verra... Je compte repousser la date du vol... "Et comment financez-vous ce voyage? d'où vient cet argent?que faites-vous comme travail?" Bon, il suffit de répondre honnêtement à toutes les questions, et de manière détaillée. Mais il m'a quand même dit que je ferais mieux d'avoir avec moi un relevé bancaire qui justifie mes avoirs la prochaine fois que je passe à une douane, histoire de ne pas avoir l'air trop hippie (enfin ça c'est mon interprétation).

Là, je suis donc enfin de retour dans ma ville-point-de-chute, mais dans une troisième auberge, dans le quartier assez chic du Mont-Royal. Après demain, j'embarque avec P.O. pour l'ouest sauvage. Si vous avez suivi attentivement, vous vous souvenez peut-être que j'avais rencontré cet avenant jeune artisan ébéniste Saganéen à Ste-Rose-du-Nord, dans le Saguenay, justement, il y a trois ou quatre semaines, et que nous avions prévu de faire un petit trip ensemble. Nous n'avions pas eu le temps de nous voir avant mon départ pour NY, le boulot qu'il avait à Montréal lui prenant plus de temps que prévu, et nous avions convenu de partir après la fin de son mandat; eh bien il m'a écrit l'autre jour qu'il avait tout plaqué, avait racheté la voiture de sa soeur et était disposé à simplement voyager vers l'ouest sans se poser de questions durant un petit moment. Je disposerai donc dès dimanche d'une voiture et d'un pote de road trip, youhou!

Allez, une dernière photo artistique pour conclure, d'une fontaine de Montréal (photo qui date en réalité d'il y a une semaine, mais on s'en fout):


4 commentaires:

Lutinvengeur a dit…

hello nath

ahahah sur la photo on dirait que j'ai pris dix kilogs, tu as modifié la photo ;-) Sur ton écran elle semblait moi "burger"...
Bon tu as raison l'histoire du resto a été un joli bordel, je pensais pas que cela se passerait comme cela. Sinon, oui, l'endroit est parfait pour prendre des impressions visuelles, entre autres que j'ai adoré. J'atttends les originaux par email.
Sinon, pour la suite, profite bien du Canada. Je me réjouis d'y retourner d'ici quelques semaines.
Ah merci pour les guides, le comble pour un "pseudo" new yorkais".
A+
Rodrigo

Elise a dit…

Magnifiques, tes photos; c'est vrai qu'en noir et blanc ça donne bien.

J'avais échoué par hasard à NY en 1989 quand on avait été en Floride avec mes parents, qu'on avait raté l'avion pour Orlando à Londres car celui de Genève avait eu du retard à cause d'une panne de radar à LOndres, du coup on nous avait fourrés dans un charter qui devait rentrer à vide à NY (et dont les WC coulaient...) et c'est comme ça qu'on a passé 24h à NY, que je suis montée dans une tour du World Trade Center (historique !!) avec maman pdt que Laurence était malade comme un chien à l'hôtel (quand elle n'a pas ses 11h de sommeil elle n'est pas dans son assiette... et à 9 ans, c'était encore pire) et avait fait un autre tour de ville avec papa plus tard. J'aimerais bien y retourner, mais Olivier a décrété que lui, l'Amérique, non merci. Alors bon...

Par contre, lui, le Canada, ah oui, volontiers ! C'est sûr que c'est pas du tout pareil, les gens, la mentalité, les paysages, la culture, tout, quoi.

Profite de ton trip avec P.O., je suis sûre que ça va être sympa, et ramène-nous de belles photos !

Bises et à la prochaine !

Anonyme a dit…

Waaaah tes photos couleur et noir/blanc! Y'en a de très belles depuis le Brooklyn Bridge, c'est mes préférées! C'est terrible comme ça me manque, je m'en rend compte seulement maintenant en lisant tes aventures et en voyant ces images! Quelle chance tu as! Je ne le répéterai jamais assez!

Moi je reviens de Bruxelles où on a passé 5 jours avec Thalia. La ville est loin d'être extraordiaire, mais quelques visites sont très sympas (musée de la BD, musée des instruments de musique, expos photos) et les gauffres sont excellentes! On a eu des problèmes à l'aéroport pour le retour parce que les bagagistes faisaient grève...du coup on a pris le train pour rentrer le lendemain (après une nuit à l'hôtel) et on va essayer de se faire rembourser les frais du vol et les dépenses d'hôtel, taxi et bouffe...j'espère qu'on va y arriver! :-)
Bisous

Nath a dit…

Marion, je te le souhaite, mais je n'y crois pas trop!

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Genève, Genève, Switzerland